Parmi ces réponses de court terme, elle a notamment confirmé un "complément de rémunération" pour le travail de nuit, avec "un doublement des majorations pour les personnels soignants" et une hausse de 50% pour les gardes des médecins.
Une manière de "reconnaître les conditions difficiles du travail de nuit", mais qui sera d'abord "expérimentée pendant trois mois" avant une éventuelle pérennisation.